Voici un témoignage relaté récemment par soeur Emmanuel de Medjugorje :
L’horrible crime – Katia m’a raconté son histoire, et si je ne l’avais pas rencontrée, je n’aurais jamais cru le cauchemar qui fut le sien.
Lorsqu’elle rencontra Claudio, son mari, il était « bien », même s’il souffrait d’une certaine dépression, avec des hauts et des bas. Mais Katia ne s’en souciait guère. Il ne voulait pas d’enfants (Katia ignorait que, pour l’Eglise, cela est une cause de nullité de mariage), mais elle en voulait au moins quatre. Bientôt Claudio devint très dur et toujours plus déprimé, surtout lorsque leur fille est née. Il l’aimait beaucoup mais était très autoritaire avec elle, toutefois sans violence. Katia voyait sa vie devenir de plus en plus restreinte, limitée par la dépression de Claudio et son autoritarisme. De plus, il rendait sa femme coupable de tout, faisant d’elle la cause de tout mal. Il prenait des médicaments pour contrôler sa dépression, mais en vain.
En 2008, rentant un jour chez elle, Katia trouva sa fille de 7 ans poignardée de sept coups mortels et Claudio étalé mort dans son sang. Avait-il eu un raptus ? Dieu le sait ! Je laisse parler Katia :
« Dire que j’étais désespérée, c’est dire trop peu. Ma vie était brisée à jamais ; je croyais que je ne pourrais pas continuer à vivre. La douleur était atroce, impossible à supporter. Mes entrailles s’étaient retournées en moi. Je voulais mourir. Seule ma foi en Dieu m’empêcha d’accomplir un geste irréparable.
Trois jours après le drame, une amie vit ma fille en rêve, portée dans les bras de la Vierge. Cela me consola beaucoup !
Puis un matin, j’ouvre les yeux et vois ma fille au pied de mon lit. Elle ne me parlait pas mais me regardait avec une grande tendresse. Ses yeux me disaient tant de choses ! J’ai alors compris que je devais choisir de vivre, puisqu’elle était avec moi. La fièvre me quitta aussitôt, je pus arrêter les médicaments et reprendre mon travail. Mais la douleur restait et il y avait cette rancœur en moi, qui bloquait la sérénité. C’était comme une pierre qui écrasait mon cœur. J’en voulais à tout le monde.
L’effet Križevac – « Je pus aller à Medjugorje l’an dernier, le cœur plein d’espérance, sachant ma fille heureuse avec Jésus et Marie. Sur le Križevac, à la 4ème station du Chemin de croix où Jésus rencontre sa Mère, mon regard fut attiré par le reflet brillant d’une pierre et je vis clairement dans ce reflet ma petite fille chérie, souriante comme toujours. J’éclatai en sanglots. Ces sanglots durèrent très longtemps. Quand je me ressaisis, j’avais retrouvé la paix et la sérénité au fond de mon cœur. La douleur m’avait quittée ! Je pus pardonner à mon mari et à ceux qui m’avaient fait du mal. J’étais guérie !
Maintenant, je loue et je remercie Jésus et Marie chaque jour. Je vis seule et je travaille, je m’occupe de mes parents. Ce qui renouvelle mes forces, c’est l’Eucharistie du dimanche et l’adoration du jeudi dans ma paroisse. »
Comment Katia a-t-elle pu sortir heureuse de ce cauchemar ? J’ai touché du doigt sa profonde sérénité. Une fois de plus, le miracle de la paix qui descend à Medjugorje s’est avéré réel, La Mère de Miséricorde et son Fils Jésus ont restauré de belle manière le cœur et la vie de cette maman brisée, qui leur faisait confiance !
Source :
Enfants de Medjugorje
http://www.enfantsdemedjugorje.fr/les-nouvelles-de-medjugorje-par-soeur-emmanuel-aout-2017/
L’horrible crime – Katia m’a raconté son histoire, et si je ne l’avais pas rencontrée, je n’aurais jamais cru le cauchemar qui fut le sien.
Lorsqu’elle rencontra Claudio, son mari, il était « bien », même s’il souffrait d’une certaine dépression, avec des hauts et des bas. Mais Katia ne s’en souciait guère. Il ne voulait pas d’enfants (Katia ignorait que, pour l’Eglise, cela est une cause de nullité de mariage), mais elle en voulait au moins quatre. Bientôt Claudio devint très dur et toujours plus déprimé, surtout lorsque leur fille est née. Il l’aimait beaucoup mais était très autoritaire avec elle, toutefois sans violence. Katia voyait sa vie devenir de plus en plus restreinte, limitée par la dépression de Claudio et son autoritarisme. De plus, il rendait sa femme coupable de tout, faisant d’elle la cause de tout mal. Il prenait des médicaments pour contrôler sa dépression, mais en vain.
En 2008, rentant un jour chez elle, Katia trouva sa fille de 7 ans poignardée de sept coups mortels et Claudio étalé mort dans son sang. Avait-il eu un raptus ? Dieu le sait ! Je laisse parler Katia :
« Dire que j’étais désespérée, c’est dire trop peu. Ma vie était brisée à jamais ; je croyais que je ne pourrais pas continuer à vivre. La douleur était atroce, impossible à supporter. Mes entrailles s’étaient retournées en moi. Je voulais mourir. Seule ma foi en Dieu m’empêcha d’accomplir un geste irréparable.
Trois jours après le drame, une amie vit ma fille en rêve, portée dans les bras de la Vierge. Cela me consola beaucoup !
Puis un matin, j’ouvre les yeux et vois ma fille au pied de mon lit. Elle ne me parlait pas mais me regardait avec une grande tendresse. Ses yeux me disaient tant de choses ! J’ai alors compris que je devais choisir de vivre, puisqu’elle était avec moi. La fièvre me quitta aussitôt, je pus arrêter les médicaments et reprendre mon travail. Mais la douleur restait et il y avait cette rancœur en moi, qui bloquait la sérénité. C’était comme une pierre qui écrasait mon cœur. J’en voulais à tout le monde.
L’effet Križevac – « Je pus aller à Medjugorje l’an dernier, le cœur plein d’espérance, sachant ma fille heureuse avec Jésus et Marie. Sur le Križevac, à la 4ème station du Chemin de croix où Jésus rencontre sa Mère, mon regard fut attiré par le reflet brillant d’une pierre et je vis clairement dans ce reflet ma petite fille chérie, souriante comme toujours. J’éclatai en sanglots. Ces sanglots durèrent très longtemps. Quand je me ressaisis, j’avais retrouvé la paix et la sérénité au fond de mon cœur. La douleur m’avait quittée ! Je pus pardonner à mon mari et à ceux qui m’avaient fait du mal. J’étais guérie !
Maintenant, je loue et je remercie Jésus et Marie chaque jour. Je vis seule et je travaille, je m’occupe de mes parents. Ce qui renouvelle mes forces, c’est l’Eucharistie du dimanche et l’adoration du jeudi dans ma paroisse. »
Comment Katia a-t-elle pu sortir heureuse de ce cauchemar ? J’ai touché du doigt sa profonde sérénité. Une fois de plus, le miracle de la paix qui descend à Medjugorje s’est avéré réel, La Mère de Miséricorde et son Fils Jésus ont restauré de belle manière le cœur et la vie de cette maman brisée, qui leur faisait confiance !
Source :
Enfants de Medjugorje
http://www.enfantsdemedjugorje.fr/les-nouvelles-de-medjugorje-par-soeur-emmanuel-aout-2017/