<iframe width="640" height="360" src="//www.youtube.com/embed/s4CRvAPzxjI?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Oh! Comme ils sont beaux, resplendissants et dansants, les esprits que Dieu crée à chaque instant pour être l’âme de nouvelles créatures! Je les ai vus et je le sais. Mais nous... tant que nous ne serons pas retournés à lui, nous ne pouvons soutenir la Splendeur d’un seul coup. Alors, dans sa bonté, il nous en approche graduellement.
Hier, donc, ce que j’ai vu en premier ressemblait à une immense rose. Je dis "rose" pour donner l’idée de ces cercles de lumière joyeuse qui se centraient toujours plus autour d’un point à l’éclat insoutenable.
)Une rose sans limites! Sa lumière était celle qu’elle recevait de l’Esprit Saint, la lumière très splendide de l’Amour éternel. C’était du topaze et de l’or liquide devenus flammes... Oh! Je ne sais comment l’expliquer. Lui, il rayonnait, très haut et seul, immobile sur le saphir immaculé et extraordinairement splendide de l’Empyrée. La Lumière en descendait en flots inépuisables. Cette Lumière pénétrait dans la rose des bienheureux et des chœurs angéliques et la rendait lumineuse de sa lumière, qui n’est que le produit de la lumière de l’Amour qui la pénètre...
)Face à Dieu le Père se trouvait Dieu le Fils. Il était revêtu de son corps glorifié, sur lequel resplendissait l’habit royal qui en couvrait les membres sans en cacher la beauté absolument indescriptible. Majesté et bonté s’unissaient à cette beauté. Les charbons de ses cinq plaies lançaient cinq épées de lumière sur tout le paradis et accroissaient son éclat et celui de sa Personne glorifiée.
C’est une chair qui est lumière. Cette lumière se condense encore plus autour de sa tête. Non pas comme une auréole, je le répète, mais autour de toute sa tête. Son sourire était lumière, son regard était lumière, de la lumière perçait de son front superbe, sans blessure. J’avais l’impression que, là où les épines avaient jadis fait couler du sang et provoqué des souffrances, il en suintait maintenant une luminosité plus vive.
Extrait de Maria Valtorta
(voir Contribution Enseignements sur blog)
Vision de Maria Valtorta :
Le Paradis
J’ai revu le paradis. Et j’ai compris ce qui fait sa beauté, sa nature, sa lumière, son chant. Tout, en somme, et même ses œuvres, qui sont celles qui, de si haut, informent, règlent et pourvoient à tout l’univers créé...
Les yeux de l’esprit sont, certes, beaucoup plus capables de soutenir la Lumière que les pauvres yeux du corps qui ne peuvent fixer le soleil, alors que cet astre ressemble aux petites flammes d’une mèche fumante en comparaison de la Lumière qui est Dieu...
Le Paradis
J’ai revu le paradis. Et j’ai compris ce qui fait sa beauté, sa nature, sa lumière, son chant. Tout, en somme, et même ses œuvres, qui sont celles qui, de si haut, informent, règlent et pourvoient à tout l’univers créé...
Les yeux de l’esprit sont, certes, beaucoup plus capables de soutenir la Lumière que les pauvres yeux du corps qui ne peuvent fixer le soleil, alors que cet astre ressemble aux petites flammes d’une mèche fumante en comparaison de la Lumière qui est Dieu...
Oh! Comme ils sont beaux, resplendissants et dansants, les esprits que Dieu crée à chaque instant pour être l’âme de nouvelles créatures! Je les ai vus et je le sais. Mais nous... tant que nous ne serons pas retournés à lui, nous ne pouvons soutenir la Splendeur d’un seul coup. Alors, dans sa bonté, il nous en approche graduellement.
Hier, donc, ce que j’ai vu en premier ressemblait à une immense rose. Je dis "rose" pour donner l’idée de ces cercles de lumière joyeuse qui se centraient toujours plus autour d’un point à l’éclat insoutenable.
)Une rose sans limites! Sa lumière était celle qu’elle recevait de l’Esprit Saint, la lumière très splendide de l’Amour éternel. C’était du topaze et de l’or liquide devenus flammes... Oh! Je ne sais comment l’expliquer. Lui, il rayonnait, très haut et seul, immobile sur le saphir immaculé et extraordinairement splendide de l’Empyrée. La Lumière en descendait en flots inépuisables. Cette Lumière pénétrait dans la rose des bienheureux et des chœurs angéliques et la rendait lumineuse de sa lumière, qui n’est que le produit de la lumière de l’Amour qui la pénètre...
)J’ai alors vu Dieu le Père, Splendeur dans la splendeur du paradis : des lignes d’une lumière toute resplendissante, toute pure, incandescente. Pensez: si je pouvais le distinguer dans ce flot de lumière, quelle devait être sa Lumière qui, bien qu’entourée d’une telle autre, l’estompait comme si ce n’était qu’une ombre devant son éclat? Esprit... Oh, comme on voit ce qui est Esprit! C’est Tout. Si parfait que c’est Tout. Car même le toucher de tout autre esprit du paradis ne pourrait atteindre Dieu, l’Esprit le plus parfait, même dans son immatérialité: Lumière, Lumière, et rien d’autre.
)Face à Dieu le Père se trouvait Dieu le Fils. Il était revêtu de son corps glorifié, sur lequel resplendissait l’habit royal qui en couvrait les membres sans en cacher la beauté absolument indescriptible. Majesté et bonté s’unissaient à cette beauté. Les charbons de ses cinq plaies lançaient cinq épées de lumière sur tout le paradis et accroissaient son éclat et celui de sa Personne glorifiée.
C’est une chair qui est lumière. Cette lumière se condense encore plus autour de sa tête. Non pas comme une auréole, je le répète, mais autour de toute sa tête. Son sourire était lumière, son regard était lumière, de la lumière perçait de son front superbe, sans blessure. J’avais l’impression que, là où les épines avaient jadis fait couler du sang et provoqué des souffrances, il en suintait maintenant une luminosité plus vive.
Extrait de Maria Valtorta
(voir Contribution Enseignements sur blog)
Source : Pères du désert http://citationspirituelles.blogspot.fr/2014/11/le-paradis_22.html
Dernière édition par Claire le Mar 22 Nov 2022 - 8:12, édité 1 fois